Peut-on parler de confiance plutôt que de bienveillance ?

Le Larousse définit la bienveillance comme tel : Disposition d’esprit inclinant à la compréhension, à l’indulgence envers autrui.
Et suite à cela, un exemple est donné : Interroger des candidats avec bienveillance.


La table est mise, même le Larousse fait la corrélation directe entre bienveillance et RH et plus loin que cela, entre employés et employeurs.
Cela apparaît évident en 2022, et avec raison, nous ne remettons pas cela en question, que la bienveillance est au cœur de nos entreprises. Aucune compagnie ne pourrait se permettre, aujourd’hui, de mettre cette valeur de côté dans son ADN.

Chez FRANCHIR nous nous sommes questionné.es sur l’utilisation de ce terme de manière récurrente.
Il donne la responsabilité à l’employeur d’avoir un comportement très empathique envers son employé.e. Encore une fois le point n’est pas là.
Mais quand est-il de la réciprocité ? Qu’en est-il de la bienveillance de l’employé.e envers son employeur? C’est beaucoup plus rare.

C’est pour ces raisons que FRANCHIR préfère le terme de confiance, qui sous-entend beaucoup plus une réciprocité et une sécurité.
La confiance peut se bâtir au fil du temps ou s’obtenir dès une entrée en poste, mais elle est mutuelle. Que chacun se sente assez en sécurité et en confiance pour travailler et s’épanouir entraînera forcément de la bienveillance et dans ce cadre peu importe le rôle au sein de l’organisation.

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