Category: Expertise

Nano-events: the new secret weapon of experiential marketing

What if the future of events fit within 200 sq. ft. and 10 guests?

As experiential marketing continues to evolve, a new trend is quietly emerging — with major impact: nano-events. These small-scale, highly customized experiences focus on authenticity, human connection, and a sense of exclusivity. They’re winning over both brands and content creators seeking unique, shareable moments.

A nano-event is an intimate, exclusive, often short-lived experience created for a small group of people — sometimes fewer than ten. This reduced format allows for total immersion, a direct connection with the brand, and personalized attention for each guest. We’re talking hyper-personalization, emotion, embodied storytelling, and powerful digital word-of-mouth. Because even if these events aren’t designed for crowds, they are often photogenic, moving, or inspiring — and therefore highly shareable.

At Franchir, we’ve seen the success of this kind of initiative with actions like a pickleball activity between content creators, or a Dolce Vita-style electric scooter ride to explore a new collection through the streets of Little Italy. These exclusive moments generated real excitement — both on-site and online.

The secret of the nano-event lies in its ability to create a feeling of privilege. Whether it’s a creative brunch in a sunlit loft with a guest author, sunrise rooftop yoga, or a jewelry-making workshop in a studio usually closed to the public — every detail matters. The space, the lighting, the guest list, the thoughtful surprises: everything must contribute to a memorable and genuine experience.

For brands, the return on investment isn’t necessarily measured in reach, but rather in the quality of relationships, depth of coverage, and emotional capital generated. Nano-events help build stronger, longer-lasting ties with content creators while giving them truly organic content they’ll be excited to share.

In a landscape saturated with flashy campaigns and mass-market launches, betting on scarcity, intimacy, and meaning is becoming a winning strategy. In 2025, the trend is clear: less crowd, more connection.

Ce que la Gen Z nous apprend sur l’achat local (et sur la façon de communiquer autrement)

Le 11 juin dernier, Anne-Marie Caron a pris la parole lors du 2e Sommet Économie et Achat local d’Infopresse pour parler d’un sujet qui nous interpelle directement chez Franchir : comment parler d’achat local à une génération qui ne répond plus aux anciens réflexes — la Gen Z.

C’est un sujet vaste. Et un terrain parfois glissant. On dit souvent que la Gen Z est engagée, connectée, fidèle à ses valeurs. Et pourtant, dans les données comme sur le terrain, une chose revient : l’achat local n’est pas toujours un levier fort pour cette génération.

Alors comment faire la lumière là-dessus?

Commencer par questionner nos biais

Avant d’entrer dans le vif du sujet, Anne-Marie a choisi de prendre un pas de recul. En communication comme en marketing, on porte tou·te·s des biais : 

  • De projection (ce qui me touche va toucher les autres).
  • De confirmation (j’ai lu un article, donc c’est vrai).
  • Ou encore de disponibilité (si ça circule sur LinkedIn, c’est une tendance). 

Ces biais peuvent fausser notre lecture des comportements d’un groupe de personnes… surtout quand on ne fait pas nous-même partie du groupe en question.

Les Z ne consomment pas local par principe

Ils·elles consomment ce qui les font vibrer.

Un sondage réalisé pour un de nos clients nous a confirmé ce qu’on constate déjà : chez les 18-34 ans, la provenance locale est loin d’être un facteur d’achat dominant. Et pourtant, ça ne veut pas dire qu’il faut abandonner le sujet.

Ça veut simplement dire qu’il faut l’aborder autrement.

La Gen Z accorde de l’importance à ce qui a du sens pour elle. Pas à ce qui sonne bien. Elle est sensible aux récits vrais, portés avec cohérence. Elle suit des influenceur·euse·s, pas pour les produits qu’ils·elles recommandent, mais pour les histoires qu’ils·elles racontent. Elle valorise la proximité… pas en kilomètres, mais en connexion émotionnelle.

Miser sur les bonnes questions et les bonnes histoires

Ce qu’on a retenu de cette conférence, c’est que pour parler aux Z, il ne faut pas seulement bien formuler nos messages, il faut surtout bien les ancrer. Les ancrer où?

  • Dans leur réalité.
  • Dans leurs repères.
  • Dans un ton juste et senti.

Et parfois, il vaut mieux laisser d’autres porter ces message : des créateur·trice·s de contenu, des médias, des ambassadeur·drice·s qui savent traduire une marque en émotion, en expérience, en moment partagé. Parce qu’au fond, ce n’est pas l’achat local qui touche les Z. C’est ce qu’il raconte. Une histoire de communauté, de sens, d’identité. À nous de savoir comment l’incarner.

Une foule de nouveaux mandats chez Franchir!

L’agence annonce une vague de nouveaux clients : Olymel, Canons!, Chalets à rabais et Partage Club.

Franchir est fière d’annoncer l’arrivée de plusieurs nouveaux clients, notamment Olymel, Partage Club, Chalet à rabais et le restaurant Canons!, qui ont choisi son expertise pour amplifier leur visibilité et atteindre leurs objectifs de communication.

De son côté, Olymel a mandaté Franchir pour mettre en lumière de nouvelles innovations. D’ici l’été, l’agence orchestrera des initiatives stratégiques pour amplifier son positionnement tant dans les médias traditionnels que numériques.

Canons !, restaurant en pleine expansion, a retenu les services de Franchir afin de soutenir son positionnement en relations de presse, en marketing d’influence et en événementiel. L’agence accompagnera l’établissement dans le cadre de son lancement très attendu au Quartier DIX30.

Chalets à rabais, plateforme dédiée aux locations de chalets à prix avantageux, a choisi Franchir pour gérer ses relations de presse et développer des collaborations stratégiques avec des créateurs de contenu et des influenceurs.

Enfin, Partage Club a confié à Franchir le déploiement d’une escouade d’ambassadeur·drice·s à Polytechnique tout au long du mois de mars. L’objectif : encourager les étudiants, les membres du personnel et les enseignants à emprunter plutôt qu’à acheter, en adoptant la plateforme offerte gratuitement par Polytechnique.

« Ces nouveaux mandats témoignent de la confiance que nous accordent des entreprises ambitieuses, issues de secteurs variés. Nous sommes ravis d’accompagner ces marques dans leurs stratégies de communication et d’influence, en mettant notre créativité et notre réseau au service de leur succès », souligne Anne-Marie Caron, présidente et cofondatrice de Franchir.